La libération de Mertzwiller en 1945
A Merztwiller, les troupes américaines ont été bien accueillies, les enfants offraient des pommes
et des poires aux soldats, les drapeaux français surgissaient aux fenêtres,
mais Mertzwiller n'était pas complètement entre les mains du Régiment 410,
parce que de l'autre côté de la rivière de la "Zinsel du Nord" se trouvait les forces allemandes.
La nuit arrivé, le moment de l'attaque était venu, on a utilisé un batallon de réserves et la 614 Antichar
composée d'effectifs noirs américains. Edmundo a mis en position les canons antichar de 57mm,
en prévision d'une contre-attaque allemande pour recapturer la petite ville.
Pendant ce temps, un batallon de spécialistes fabriquaient un pont afin de rallier les autres troupes.
Le bombardement a commencé et a duré 45 minutes.
Avec les premières lumières du jour, à l'avant on a commencé à se déplacer,
mais les allemands ont pris le contrôle du pont principal.
Quelques soldats essayent de traverser à la nage la rivière froide,
tandis que les techniciens construisaient un pont provisoire, avec la protection de l'artillerie.
Quand il fut prêt, les troupes et les réserves ont commencé à traverser.
Tout le terrain et les chemins étaient semés de mines en matière plastique.
Il fallait être prudent, mais la bataille tourna à l'avantage des américains, Mertzwiller fut libéré.
Il fallait résister contre plusieurs ennemis, le froid, la lourdeur
de notre bagage personnel et notre ennemi juré, les Allemands.
Edmundo raconte : "Après tant de jours au front, on cédait momentanément à la résistance ennemie,
la fatigue surgissait et le corps ne répondait plus, l'équipement pesait lourd.
Nous décidions d'abandonner le masque à gaz, la couche pour dormir,
de toute façon elle était toujours mouillée par la pluie et la neige
et tout ce qui gênait et paraîssait peser trop lourd pour les soldats.
Le froid enflait les pieds et les jambes, le sang était rendu plus épais,
endommageant la figure, le nez et le cerveau demandait seulement à dormir"
A Merztwiller, les troupes américaines ont été bien accueillies, les enfants offraient des pommes
et des poires aux soldats, les drapeaux français surgissaient aux fenêtres,
mais Mertzwiller n'était pas complètement entre les mains du Régiment 410,
parce que de l'autre côté de la rivière de la "Zinsel du Nord" se trouvait les forces allemandes.
La nuit arrivé, le moment de l'attaque était venu, on a utilisé un batallon de réserves et la 614 Antichar
composée d'effectifs noirs américains. Edmundo a mis en position les canons antichar de 57mm,
en prévision d'une contre-attaque allemande pour recapturer la petite ville.
Pendant ce temps, un batallon de spécialistes fabriquaient un pont afin de rallier les autres troupes.
Le bombardement a commencé et a duré 45 minutes.
Avec les premières lumières du jour, à l'avant on a commencé à se déplacer,
mais les allemands ont pris le contrôle du pont principal.
Quelques soldats essayent de traverser à la nage la rivière froide,
tandis que les techniciens construisaient un pont provisoire, avec la protection de l'artillerie.
Quand il fut prêt, les troupes et les réserves ont commencé à traverser.
Tout le terrain et les chemins étaient semés de mines en matière plastique.
Il fallait être prudent, mais la bataille tourna à l'avantage des américains, Mertzwiller fut libéré.
Il fallait résister contre plusieurs ennemis, le froid, la lourdeur
de notre bagage personnel et notre ennemi juré, les Allemands.
Edmundo raconte : "Après tant de jours au front, on cédait momentanément à la résistance ennemie,
la fatigue surgissait et le corps ne répondait plus, l'équipement pesait lourd.
Nous décidions d'abandonner le masque à gaz, la couche pour dormir,
de toute façon elle était toujours mouillée par la pluie et la neige
et tout ce qui gênait et paraîssait peser trop lourd pour les soldats.
Le froid enflait les pieds et les jambes, le sang était rendu plus épais,
endommageant la figure, le nez et le cerveau demandait seulement à dormir"
Canon, calibre de 57mm, notez que le canon est peint en blanc, parce que c'était la fin de l'hiver.
fredairborne, Posté le lundi 02 mars 2015 01:00
belle photo